Le temps qui passe...

Cette chanson évoque la mélancolie et la réflexion sur le passage inexorable du temps, apte à toucher quiconque a déjà ressenti la nostalgie des jours passés. A travers mes paroles, j'aborde la difficulté de faire face aux changement physiques et émotionnels que la vie impose. Le refrain récurrent "Il faudrait dire au monde", souligne un désir de partage et de compréhension collective de ces sentiments universels.
Les vers explorent l'idée que l'enfance et la jeunesse sont des souvenirs précieux qui s'effacent avec le temps. Les visages et les corps, jadis admirés, se transforment, entraînant un sentiment de perte et de regret. Je souligne la lutte contre le vieillissement, non seulement sur le plan physique, mais aussi sur le plan psychologique, évoquant la tentation de cacher ces marques du temps.
Les métaphores, telles que "les droites sont devenues courbes", illustrent le changement inéluctable de la vie, tandis que l'idée de se cacher dans des "cavernes" reflète le désir d'échapper à la réalité de l'âge. En fin de compte, ma chanson aborde des thèmes profonds tels que l'acceptation de la mortalité, le cycle de la vie, et la quête d'une renaissance, tout en rappelant que chaque instant passé est précieux et qu'il est essentiel d'en prendre conscience.
C'est une oeuvre qui interpelle et fait réfléchir, nous invitant à dialoguer sur nos peurs et nos regrets face au temps qui file, tout en cherchant à trouver la beauté dans chaque étape de notre existence.