Poussé dans la rivière par sa bien-aimée, il exige des excuses ; elle jure de ne plus le revoir.

Elle n'a jamais imaginé que l'amour de sa vie pourrait devenir son pire cauchemar. Un simple geste. Une poussée violente. L'eau glacée qui l'engloutit. Et lui, debout sur la berge, qui ose lui demander de s'excuser. Mais attendez, ce n'est pas tout. Ce qui se passe ensuite va vous glacer le sang. Restez jusqu'à la fin parce que cette femme va prendre une décision qui changera tout. Avant de commencer, abonnez-vous à la chaîne, activez la cloche de notifications, laissez un like si cette histoire vous touche, et surtout, écrivez en commentaire de quelle ville vous écoutez cette incroyable histoire. Allez, on commence. Tout a basculé un dimanche après-midi de mars. Amélie, trente-deux ans, marchait main dans la main avec Thomas près de la rivière Loirelle, cette petite rivière qui traverse leur ville. Ils étaient ensemble depuis cinq ans. Cinq années qu'elle pensait remplies d'amour, de complicité, de projets d'avenir. Mais ce jour-là, quelque chose dans le regard de Thomas était différent. Froid. Distant. Elle lui avait simplement demandé pourquoi il rentrait si tard ces derniers jours. Une question innocente. Normale. Mais sa réaction a été tout sauf normale. Il s'est arrêté net. Ses mâchoires se sont crispées. Et avant qu'elle puisse comprendre ce qui se passait, ses mains l'ont poussée avec une force qu'elle ne lui connaissait pas. Le monde a basculé. L'eau glacée a englouti son corps. Ses poumons se sont comprimés. Elle a lutté pour remonter à la surface, toussant, crachant, tremblante. Et quand elle a levé les yeux vers lui, espérant voir du remords, de la panique, de l'inquiétude, elle n'a vu que de la colère. De la colère froide. Il était là, debout, les bras croisés. Et il a dit ces mots qu'elle n'oubliera jamais. Excuse-toi. Excuse-toi pour avoir douté de moi. Pour avoir ruiné cette journée avec tes questions stupides. Amélie est restée figée dans l'eau, incapable de bouger. Son cerveau refusait d'accepter ce qu'elle venait d'entendre. Elle venait d'être poussée dans une rivière. Elle aurait pu se blesser gravement. Et lui voulait qu'elle s'excuse. Quelque chose s'est brisé en elle à cet instant. Pas seulement son cœur. Mais une illusion. L'illusion de l'homme qu'elle croyait aimer. Elle est sortie de l'eau, ruisselante, glacée jusqu'aux os. Elle l'a regardé droit dans les yeux. Et d'une voix qu'elle ne reconnaissait pas elle-même, ferme et glaciale, elle a dit. Je ne m'excuserai jamais. Et je te jure sur tout ce que j'ai de plus cher que tu ne me reverras plus jamais. Thomas a ricané. Il pensait qu'elle bluffait. Qu'elle reviendrait comme toujours. Parce qu'elle revenait toujours. Après chaque dispute. Après chaque humiliation. Après chaque excuse bidon qu'il lui servait. Mais cette fois, c'était différent. Amélie est rentrée chez elle, a pris une douche brûlante qui n'a pas suffi à réchauffer son corps tremblant, et elle a pris une décision. Elle allait disparaître de sa vie. Complètement. Mais ce qu'elle ne savait pas encore, c'est que Thomas n'allait pas la laisser partir si facilement. Les jours suivants ont été terribles. Il l'a appelée cinquante-sept fois le premier jour. Cinquante-sept. Elle a compté. Des messages. Des vocaux. D'abord en colère. Puis suppliant. Puis menaçant. Il est venu devant chez elle. Il a sonné pendant des heures. Il a crié son nom dans la rue. Les voisins ont commencé à la regarder bizarrement. Mais elle n'a pas cédé. Pas cette fois. Elle a changé de serrure. Elle a bloqué son numéro. Elle a demandé à ses amis de ne plus lui donner de nouvelles d'elle. Mais Thomas est devenu obsédé. Il a créé de faux comptes sur les réseaux sociaux pour la suivre. Il s'est présenté à son travail. Il a même contacté sa mère pour essayer de la convaincre de lui parler. Et c'est là que la première révélation a eu lieu. Sa mère, Élisabeth, a accepté de le rencontrer dans un café. Elle voulait comprendre ce qui s'était passé. Thomas lui a raconté sa version. Une version où Amélie était hystérique, jalouse, où elle l'avait frappé et où il l'avait simplement retenue, et qu'elle était tombée accidentellement. Élisabeth a failli le croire. Presque. Mais quelque chose dans son regard la mettait mal à l'aise. Alors elle a fait quelque chose qu'aucune mère ne devrait avoir à faire. Elle a posé son téléphone sur la table, face cachée, en mode enregistrement. Et elle lui a posé des questions. Au début, Thomas a maintenu sa version. Mais plus elle creusait, plus il se contredisait. Et puis, dans un moment de frustrati