Lifting des seins avec implants, liposuccion et B.B.L. (Brazilian Butt Lift) Chirurgiedirect Tunisie

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Le BBL correspond à une autogreffe de cellules graisseuses ; Ces cellules sont donc fragiles en post opératoire et ont besoin d’être consolidées par une alimentation plus riche que d’habitude.
La liposuccion permet d’enlever des zones de graisse mais n’est pas une méthode pour perdre du poids. La plastie abdominale va permettre de supprimer un surplus cutané sur la partie inférieure du ventre. La liposuccion est une des chirurgies les plus demandées. La liposuccion peut être associée à d’autres chirurgies en même temps comme l’abdominoplastie, le lipofilling des fesses (B.B.L.) ou d’autres interventions si cela est réaliste. Après la liposuccion, le port d’une gaine est fortement recommandé ainsi que des massages drainants. Le résultat sera à évaluer quelques semaines à quelques mois après ; une fois l’œdème résorbé.
La chirurgie BBL ou le Brazilian Butt Lift est une chirurgie esthétique qui permet une augmentation des fesses par transfert de graisse, appelée également Lipomodelage des fessiers.. Cette chirurgie esthétique nécessite une liposuccion de plusieurs zones afin de récupérer assez de graisse à injecter. Après la chirurgie, il est conseillé d’utiliser un coussin spécial afin d’éviter d’appuyer sur les zones opérées. Si le patient n’a pas assez de graisse, il n’est possible de faire le BBL.
Les mises en garde :
Si l’élasticité ou la tonicité de la peau n’est pas suffisante, il peut arriver un relâchement cutané sur certaines zones comme les bras, le double menton, le ventre (ou d’autres zones) après la liposuccion. Un lifting cutané pourra être envisagé en fonction des cas.
• Des antécédents de phlébite ou d’embolie pulmonaire peuvent constituer des contre-indications à cette opération ;
• En cas de maladies graves (diabète non contrôlé, hypertension, leucémie…), l’opération peut être déconseillée
• Un projet de grossesse à court terme constitue une contre-indication. Il est alors conseillé de reporter l’opération après l’accouchement.
• Un tabagisme augmente le risque de nécrose cutanée, ce qui peut retarder la cicatrisation et retarder la guérison. Il est donc recommandé d’arrêter de fumer un à deux mois avant l’opération et autant après
• La prise de contraceptif hormonal augmente le risque de phlébite. En cas d’autres facteurs de risque, il peut être demandé de l’arrêter un mois avant l’opération ;
• Une surcharge pondérale importante sur l’ensemble du corps constitue une contre-indication en cas de surpoids important, une prise en charge globale est conseillée.

Mise en garde sur le lipofilling fessier
• Le danger principal de cette technique consiste à sur-remplir la fesse au cours de l’intervention. Cela crée une surpression qui peut chasser la graisse injectée dans de petites veines situées dans le muscle grand fessier. On dit que la graisse embolise la veine. La graisse passe alors dans la veine cave avant d’aller boucher les vaisseaux pulmonaires. On parle d’embolie graisseuse pulmonaire, qui, si elle est importante, peut être très dangereuse. Il est donc nécessaire de contrôler le volume injecté.

Après la liposuccion, on recommande trois ou quatre massages de 30 à 40 mn par semaine pendant un mois après cette chirurgie. Pour une abdominoplastie, le nombre de séances oscillera entre 10 et 12, car c'est une intervention qui enlève une grande quantité de graisses et qui a tendance à générer des œdèmes.
Le lifting des seins avec poses de prothèses est une chirurgie courante en Tunisie. Après des grossesses et allaitements, il arrive que les seins se vident et que ça tombe un peu. La solution du lifting des seins avec pose de prothèses mammaires apporte beaucoup de satisfaction. Les prothèses utilisées sont rondes et remplies de gel de silicone. Elles existent dans une grande variété de tailles, ce qui les rend adaptables à toutes les morphologies.
En cas de rupture accidentelle ou pour des raisons esthétiques (Changement de volume par exemple) il peut y avoir une indication de changement de l’implant, mais les prothèses nouvelles générations n’ont plus besoin d’être systématiquement changées après quelques années. Les implants sont placés en arrière de la glande mammaire, sous ou sur (rarement) le muscle pectoral. Les suites opératoires sont peu douloureuses, beaucoup de patientes ne souffrent pratiquement pas. La complication la plus courante suite à une augmentation mammaire est la formation éventuelle d’une coque pathologique : la coque est une réaction cicatricielle autour de l’implant, qui risque d’aboutir à un sein rond et moins souple. La nouvelle génération de prothèses a permis de diminuer le taux de coques : celui-ci est de 1/100.