Mohammad, une star est née.

Un texte en hommage au meilleur homme... Mohammad (sws).

Merci à tous ceux et celles qui me soutiennent depuis si longtemps.


Une star est née

Une star est née, elle vivait parmi ses congénères, dans l’amour, l’altruisme, la sagesse, la passion de Dieu. Une star est née, a vécu et mourût au moment où l’humanité venait de renaitre. Un homme sage, une oreille à l’écoute, des mots venus des cieux par Dieu. Il n’y a pas que ce souvenir qui nous touche et nous rappelle que l’imparfait n’est pas de ce monde mais que le perfectible est un moyen de nous élever. Il est un père intemporel, une boussole, le phare de l’humanité… Il est Mohammad (Sws). Quand je prononce son nom, c’est mon cœur qui pleure, mon corps qui vibre et mes mots qui se plient à la beauté de ses lettres. Qui ne se souvient pas de lui ?

Il marqua l’Univers par sa présence et son absence est une pluie qui nourrit les âmes. Quand seul devant mon clavier alphanumérique, je me retrouve à tenter de poser les meilleurs mots, j’ai les doigts qui tremblent de ne pouvoir avoir les meilleures pensées. Le temps passe, les larmes s’effacent et les pas construisent leur chemin. Je ne saurai être le meilleur conseiller mais je demeure un relais parmi des milliards d’autres. Posez-vous, offrez-vous un rappel, consentez à n’être que des voyageurs nantis de raison, laissez le souvenir de cet homme vous rappeler qui vous êtes. On dira de vous que vous étiez beau, que vous étiez d’une présence constante lors des prières où des manifestations mais aujourd’hui que feriez-vous au nom de votre Seigneur ?

Mohammad avait la constante question de savoir comment sauver sa communauté, comment sauver l’humanité emplie de vanité, d’égoïsme et de despotisme. Une star vit en nous depuis, depuis la révélation, depuis ses combats contre la haine, contre l’injustice, contre ces mots dits aux plus faibles… des mots dits et répétés ! Ma plume danse sur les émotions d’une calligraphie, une géographie d’un cœur pris sous les mots, les cloisons entre le vide et la tâche. Je prends si souvent ma plume pour faire naître la condition de notre âme.

Au jardin des Hommes, le réveille et une merveille, nous ne sommes pas éternels mais fraternels, nous ne sommes pas pressés mais stressés, alors dans un dernier élan tressons tous ensemble, ici et là, sur ce planché ou là-bas dans les guerres muettes, nous prendrons les miettes d’un homme unique, un homme qui nous a guidé et promulgué les meilleurs conseils, un frère, un père nous gardons, les yeux heureux, les souvenirs d’un homme juste, d’un homme pieux… Toi Mohammad (Sws)

Khalid Louguid

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