Joseph Jongen (1873-1953) : Concerto pour harpe et orchestre (1944) 2/2

Joseph Jongen (1873-1953) (Belgique)
Concerto pour harpe et orchestre (1944) 2/2
Harpiste : Mireille Flour
Dir : Fernand Quinet

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2- Finale : Récitatif cadence -- Allegro vivo (8.25)

PART I :    • Joseph Jongen (1873-1953) : Concerto pour ...  

On collectionCB, collectionCB2, collectionCB3 & collectionCB4 we can also listen to Joseph Jongen’s « Violin Concerto » (1900), « Impressions d’Ardennes » for orchestra (1913), « Heroic Poem for violin and orchestra » (1919), « Rhapsodic Fantasy for cello and orchestra » (1924), « Symphonic Piece for Piano and Band » (1928), « Triptych for orchestra » (1937), « Piano Concerto » (1943).

Formé au Conservatoire Royal de Liège, le Belge Joseph Jongen obtint en 1897 le Premier Grand Prix de Rome. Il fut ensuite professeur d'harmonie et de contrepoint au Conservatoire de Liège, puis professeur de fugue au Conservatoire de Bruxelles dont il devint directeur en 1925. Son œuvre abondante de style néo-classique et d'inspiration romantique est d'une facture "franckiste" alliant concision et fermeté du trait, à mi-chemin entre l'art de Vincent d'Indy et celui de Maurice Ravel. Le musicologue Ernest Closson a écrit : « On se sent en présence d'un art infaillible, d'œuvres sans fissure, écrites avec une sûreté imperturbable. » Il est l'auteur d'une œuvre variée dont on retiendra la « Symphonie en la majeur » (1899), le « Premier poème pour violon et orchestre » (1900), l' « Adagio symphonique pour violon et orchestre » (1901), « Impressions d'Ardennes » (1913) pour orchestre, le « Prélude élégiaque et scherzo » (1920) pour orchestre dédicacé à Gabriel Pierné, l'excellente « Symphonie concertante pour orgue et orchestre » (1927), le magnifique « Triptyque pour orchestre » (1937), plusieurs pièces pour orgue, pour harmonium ou pour piano, le « Concerto pour piano et orchestre » (1943), la « Ballade pour orchestre » (1949) ainsi que les « Trois mouvements symphoniques pour orchestre » (1951). S'inscrivant dans la tradition romantique initiée par Boieldieu et illustrée notamment par Reinhold Glière, le délicat « Concerto pour harpe et orchestre » que Joseph Jongen composa en 1944 est ici interprété par sa dédicataire Mireille Flour, sous la direction de Fernand Quinet.

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