KAGAME AVERTIT: Si les RDF ne quittent pas le Congo, Tshisekedi déclenchera la guerre AU RWANDA!
Автор: Africa Flashes
Загружено: 2025-11-30
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La tension vient d’atteindre un point de non-retour dans la région des Grands Lacs. Pour la première fois depuis plus de vingt ans, Paul Kagame admet ouvertement que les RDF opèrent en territoire congolais — une reconnaissance involontaire qui change totalement le rapport de force. Car à Kinshasa, Félix Tshisekedi a désormais tracé une ligne rouge historique : si les troupes rwandaises ne se retirent pas immédiatement du Congo, alors la riposte se fera non pas à Goma, non pas à Bukavu… mais au Rwanda même, là où les décisions sont prises, là où l’agression est pilotée.
Ce basculement stratégique intervient au moment où les États-Unis, sous l’impulsion directe de Donald Trump, imposent une pression diplomatique d’une intensité inédite sur Kigali. Washington ne parle plus en langage diplomatique : il exige. Retrait total des RDF ou isolement international. Fin des ambiguïtés ou fin de la protection américaine. Cette fois, Kagame n’a plus le choix, et sa présence presque forcée à Washington en témoigne.
Dans ce nouvel échiquier, Tshisekedi adopte une posture ferme, assumée, souveraine. Il refuse tout mixage, tout brassage, toute réintégration des combattants du M23 dans les FARDC, rompant avec vingt ans de compromissions qui ont permis au Rwanda d’infiltrer l’armée congolaise de l’intérieur. L’époque des illusions est terminée : Kinshasa ne reconnaît plus le M23 comme un mouvement congolais, mais comme une étiquette utilisée par les RDF. Et le monde, cette fois, semble écouter.
La crise s’est cristallisée lorsque Kagame a déclaré publiquement que Goma et Bukavu lui appartiennent. Cette phrase, d’une gravité diplomatique immense, a fait voler en éclats deux décennies de narratif mensonger selon lequel le conflit serait « congolo-congolais ». Kigali ne peut plus se cacher : en assumant son implication, il légitime la doctrine défensive annoncée par Tshisekedi — celle d’une possible projection militaire en territoire rwandais si l’agression se poursuit.
Sur le terrain, la dynamique militaire évolue rapidement. Au Sud-Kivu, autour de Mwenga, Kasika et les zones forestières avoisinantes, les FARDC, les Wazalendo et les alliés burundais ont infligé des revers sévères aux RDF et au M23, brisant la progression rwandaise et modifiant l’équation stratégique. Kigali, habitué à avancer sans résistance, découvre une nouvelle réalité : le front n’est plus à sens unique.
Dans l’ombre, la diplomatie congolaise s’intensifie. Tshisekedi diversifie ses alliances militaires, visite des industries de défense en Serbie, restructure sa haute hiérarchie et prépare un nouveau gouvernement. La RDC se repositionne comme un acteur souverain, prêt à défendre son territoire mais aussi à imposer des conditions strictes à toute coopération régionale future.
À l’approche du sommet de Washington, le dilemme est clair :
Retrait total des RDF = paix et intégration économique régionale.
Maintien des RDF = confrontation directe et risque d’une guerre sur le sol rwandais.
Le 4 décembre pourrait ainsi devenir l’une des dates les plus décisives de l’histoire contemporaine de l’Afrique centrale. La vérité s’impose, les masques tombent, et la RDC avance avec une assurance nouvelle. La question n’est plus de savoir qui a déclenché la crise : elle est désormais de savoir jusqu’où chacun est prêt à aller pour définir l’avenir de la région. #RDC #Rwanda #Tshisekedi #Kagame #AfricaFlashes
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