Je Marche Dans Ma Ville

Je Marche Dans Ma Ville – Nouvelle chanson RAP Français inspirée, 5 minutes de réalité brute, d’ambition et d’ascension personnelle.
Un rap introspectif qui parle de survie, évolution, mental de guerrier, loyauté et détermination.
Ce titre raconte un parcours, une route qui s’impose malgré les obstacles – un hymne pour ceux qui refusent d’abandonner.

Abonne-toi pour soutenir & recevoir les prochaines sorties
Laisse un like si tu ressens cette énergie


Paroles :

« Yo ! Ici c’est ton frère,
Je ramène les récits, les ruelles, les promesses.
On a grandi entre défis et rêves,
On a porté nos voix sur le béton,
Alors écoute ça… »

Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous mettre à genoux, on reste debout
On écrit nos propres lignes quand la nuit se déroule
Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous faire taire, on hurle en silence
On monte en puissance jusqu’à faire trembler l’existence

Je me souviens des murs tagués, des courbes sur l’asphalte
Des gamins en survêt’, les baskets prêtes à glisser sur l’instant
La radio crachait des sons d’outre-rues, on vibrait là-dedans
On cherchait un signe, un regard qui redonnerait du cran
Le père disait « reste vigilant », la mère « pense à demain »
Mais à l’adolescence le temps semblait s’arrêter demain
On voulait aller vite, on voulait toucher le ciel
Sans carte, sans boussole, juste le feu sous nos semelles
J’ai vu les copains tomber, les rires devenir froids
J’ai vu les promesses fondre quand l’ambition se cloisonne
Mais malgré les bagages, les doutes et les scandales
On garde la tête haute, on plante nos banderoles

Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous mettre à genoux, on reste debout
On écrit nos propres lignes quand la nuit se déroule
Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous faire taire, on hurle en silence
On monte en puissance jusqu’à faire trembler l’existence

Quand la rue t’a donné une leçon, tu l’inscris dans ton sport
Tu deviens artisan de tes heures, tu transformes l’effort
On croise les visages, on capte les regards fuyants
On lit les histoires tatouées sur les retours tardifs, tremblants
J’ai troqué la peur contre un micro, les regrets contre l’envers
Chaque coup reçu m’a forgé — je traîne mes mémoires entières
Les flashs des caméras ne capturent pas nos serments
Ils montrent l’instant figé, pas le chemin constant
Alors j’avance, je trace, je prends mon rang
Même quand tout paraît flou, j’entends ce battement
C’est le mien, c’est le tien, c’est celui de ceux qui se lèvent
Pour que demain soit autre chose qu’une dernière trêve

Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous mettre à genoux, on reste debout
On écrit nos propres lignes quand la nuit se déroule
Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous faire taire, on hurle en silence
On monte en puissance jusqu’à faire trembler l’existence

Et quand la route se referme, je trouve la faille
Dans le regard d’un frère, dans un mot qui dévale
Je n’ai pas toujours fait juste, j’ai connu les faux pas
Mais j’ai relevé les bras, parce qu’après la dérive y a pas
De raccourci vers l’honneur — tu dois tenir la barre
Même face aux coups portés, même quand tout s’égare
On est les fils de ceux qu’on oublie, les voix qu’on taisait
Aujourd’hui on prend l’espace, aujourd’hui on fait le paquet

Alors j’entends la sirène au loin, j’accélère sans frein
Pas pour fuir, mais pour gagner ce qui nous appartient
Le passé pèse mais il nous affûte, chaque cicatrice est un signe
Qu’on s’est battu, qu’on a choisi, qu’on ne s’aligne pas sur la ligne
On forge nos propres règles, nos propres alliances
On dépasse les actes posés dans l’instant de défiance
Il y aura encore des nuits sans sommeil, des doutes à raviver
Mais la hargne au ventre, je continue à me relever
Je marche pour les absents, je parle pour les muets
Je crie pour les retenus, je vis pour les oubliés
Ma route s’éclaire pas avec des mots déjà usés
Mais avec mes pas, mes voix, et ces rêves qu’on va user

Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous mettre à genoux, on reste debout
On écrit nos propres lignes quand la nuit se déroule
Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde veut nous faire taire, on hurle en silence
On monte en puissance jusqu’à faire trembler l’existence

Je marche dans ma ville, je traque mon futur
Pas de gants, pas de masque, juste un cœur en armure
Le monde voulait m’éteindre, j’allume mon essence
Je fais de mes pas une arme, de mes rêves une sentence