Vous sentez!😭😭😭votre odeur corporelle est trop forte! Bienvenue au Canada, USA, UEA, Europe.🤪🤪🤪

La discrimination basée sur les odeurs corporelles à l’encontre des personnes noires en Europe, aux États-Unis et à Dubaï est un phénomène complexe, ancré dans des stéréotypes raciaux historiques et des dynamiques socioculturelles. Voici une analyse structurée par région, suivie de recommandations pour aborder ce problème :

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*1. Contexte historique et stéréotypes raciaux*
*Racisme scientifique* : Au 19ᵉ siècle, des théories pseudo-scientifiques européennes et américaines ont essentialisé les corps noirs, les associant à des odeurs "exotiques" ou "animales", renforçant ainsi des hiérarchies raciales.
*Fétichisation et déshumanisation* : Ces stéréotypes persistent dans les médias, la culture populaire et les microagressions quotidiennes (ex. : commentaires sur les cheveux, la peau ou l’hygiène).

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*2. Europe et États-Unis*
#### *Manifestations de la discrimination*
*Travail* : Des employé·es noir·es ont signalé des remarques sur leur "odeur" comme prétexte à l’exclusion. En France, la justice a reconnu un licenciement abusif lié à l’odeur corporelle comme discrimination raciale (affaire Dana International, 2020).
*Produits d’hygiène* : Les déodorants et produits capillaires sont souvent conçus pour les peaux et cheveux blancs, marginalisant les besoins des personnes noires. Le refus de ces produits peut être perçu comme un manque d’hygiène.
*Espace public* : Des personnes noires rapportent être évitées dans les transports en commun ou faire l’objet de contrôles policiers justifiés par des préjugés sensoriels.

#### *Impact psychologique*
*Stigmatisation* : Internalisation de la honte corporelle et pression pour se conformer aux normes eurocentrées (ex. : surutilisation de parfums).
*Santé mentale* : Anxiété, dépression ou sentiment d’aliénation.

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*3. Dubaï et le Golfe*
#### *Contexte migratoire*
Les travailleurs·euses originaires d’Afrique subsaharienne ou d’Asie du Sud sont souvent confrontés à des discriminations systémiques. Leurs conditions de vie précaires (logements surpeuplés, accès limité à l’eau) peuvent être instrumentalisées pour justifier des stéréotypes sur leur hygiène.
*Hiérarchie raciale* : Les travailleurs·euses noir·es occupent majoritairement des emplois peu qualifiés (sécurité, ménage), où les commentaires dégradants sur leur corps ou leur odeur sont fréquents.