À demi-mot (Paulymorphe) - Les sessions salon
Автор: Paulymorphe
Загружено: 2021-02-02
Просмотров: 1128
Envie de te dire, que je t'ouvrirai la
Porte aux sentiers battus, de mon corps, de mes bras,
De mes doutes, de mes peurs, et du coins de mes lèvres,
Desquels ne sortiront, ces trois mots si cruels,
À demi-mots je hurle, à quel point tu es belle,
Pour combler ce silence, si bruyant à l'oreille,
Et ne m'en veut pas, si un soir enlacé,
Un matin d'une nuit grise, à parler du passé,
Ou après un baiser, peu être un peu trop long,
Dans tes yeux j'imagine, quelques mots vagabonds,
Qu'il ne faut, prononcer, au risque de nommer,
À raison ou à tords, ces moments, fabulés,
Briser les gardes fous, passer par dessus bord,
Et sombrer trop profond, pour retrouver le nord.
Et je te veut à demi-mot, tes yeux nus sans, demi-mesure,
Collés au miens deux miserables corps aux deux-milles blessures,
Et si la patience est de mise, faute de milliers de chaines,
Et de mirages du passé, de mises à nus, parfois cruelles,
A admirer là tes cheveux, je me sent à, demi minable,
A esperer mimer tes levres, ces deux mirroirs pourtant semblables,
Montons de quelques demi tons, quitte à ne plus faire demi tours,
Plus de mystère, plus de retenu, que de l'amour à l'ingénue...
Et ainsi, faisons fi, des non-dit à, demi-mot,
Ne te rhabille pas desuite, pardonne mes idéaux,
Comment dormir, sans tes seins,
sans ton coeur, loins du miens,
Revenons en arrière, avant ce doux refrains,
Je sais très bien mentir, je ne t'aime, ni exulte,
À chacune de tes phrases, tu ne me catapulte,
Pas si loins, de mes peines, que la colère, et la haine,
Ne paraissent pas moins grande, là sous ton sortilège,
Je ne pense pas à toi, chaque seconde qui s'écoule,
Je n'entend pas ton rire, au milieux de la foule,
Je ne passe pas mes nuits, à retourner mon lit,
Espérant y trouver, ton corp pour l'enlacer,
Tu n'as pas rallumé, ces myriades d'étoiles,
Tu n'as pas étouffé, ces pensées qui m'accablent,
Il serait malvenu, peu être même incongru,
D'aller t'attribuer, mon sourire retrouvé...
Et à quoi bon continuer, les demi-mot, autant creuser,
Notre propre tombe main dans la main, arrêtons de nous protéger,
De ces armures imaginaires, enlevons ces morceaux de fer,
Qui entour le coeur des gens cassés, vaine tentative de protéger,
La flamme qui bien souvent vacille, dans le coeur creux de ces gens là,
Vivre dans la peur plutôt mourrir, j'aimerai la vie jusqu'au trépas,
Pourquoi laisser ces vieilles blessures, du temps nous avoir à l'usure,
Plutôt qud'aimer de toutes nos forces oui d'aimer jusqu'à en crever,
Dai doum tum tum *
Et nva pas croire une seule secondes, que jn'ai pas aussi peur que toi,
Même si la barre pour mcasser un peu plus que jne le suis déjà,
Etais déjà bien assez haute, pour bien des filles bien avant toi,
La redescente vaudra surement l'ivresse de sombrer dans tes bras,
Et si un jour tu doit partir, pas d'inquiétude tu partiras,
Et si un jour je doit partir, je partirai et puis voilà,
Et nous verseront quelques larmes, mais je serait impardonnable,
De n'avoir jamais pris la peine,
De t'avouer à, quel point,
Je t'aime.
https://paulymorphe.fr/
Доступные форматы для скачивания:
Скачать видео mp4
-
Информация по загрузке: