Les Secrets de Kabila Révélés par Jules Mulumba – La Vérité que Vous Ignorez

Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo (RDC), est accusé d'avoir affaibli l'armée congolaise en plaçant des officiers rwandais à des postes stratégiques, plutôt que de la renforcer comme il le prétendait. Selon le narrateur, Kabila, formé militairement au Rwanda, serait idéologiquement aligné sur Paul Kagame, président rwandais, et aurait agi comme un pion dans un projet d'instauration d'un empire hutu en Afrique. Cette accusation repose sur l'idée que Kabila a intégré des membres de groupes rebelles, notamment des Rwandais, dans les forces armées congolaises, compromettant ainsi la souveraineté nationale. Le narrateur affirme que ces actions s'inscrivent dans une stratégie d'infiltration systématique des institutions congolaises par des forces étrangères.

Le narrateur soutient que Kabila est arrivé au pouvoir avec l'Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), officiellement pour combattre la dictature de Mobutu, mais en réalité pour servir les intérêts de Kagame et d'autres leaders régionaux comme Museveni de l'Ouganda. Ces derniers auraient soutenu des rébellions dans plusieurs pays, notamment en Ouganda et au Burundi, avant de s'attaquer au Congo. Des figures comme Melchior Ndadaye et Cyprien Ntaryamira, présidents burundais démocratiquement élus, auraient été assassinés dans cette dynamique. Le narrateur souligne que Kagame, au pouvoir depuis 31 ans, et Museveni, depuis 40 ans, ne cherchaient pas à promouvoir la démocratie, contrairement à leurs déclarations, mais à établir une hégémonie régionale.

Kabila est également accusé d'avoir trahi la mémoire de son père, Laurent-Désiré Kabila, en collaborant avec ceux qui l'auraient assassiné. Lors des négociations de Sun City, il aurait accordé des postes prestigieux, comme celui de vice-président chargé de la défense, à des individus impliqués dans la mort de son père, tels qu'Azarias Ruberwa. Cette décision est présentée comme une preuve de son manque de loyauté envers la RDC. Le narrateur affirme que Kabila a systématiquement promu des officiers issus du Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD) et d'autres groupes rebelles, majoritairement rwandais, au détriment des Congolais, dans le but d'affaiblir l'armée nationale.

Le processus d'infiltration de l'armée congolaise est décrit comme méthodique : des rébellions comme le RCD, le CNDP et le M23 ont été lancées, suivies de négociations et d'une intégration des rebelles dans l'armée et les institutions. Par exemple, après la rébellion du RCD, Kabila aurait nommé 10 généraux, dont seulement deux étaient Congolais, les autres étant des anciens du Front patriotique rwandais (FPR) ou du Mouvement de libération nationale (NRM). Cette stratégie aurait permis une occupation progressive et discrète du Congo, avec des officiers rwandais occupant des postes clés, notamment dans l'est du pays, où ils contrôlaient des régiments entiers.

Le narrateur met en avant le rôle des "Wazalendo", des résistants congolais, qui, sous le commandement de figures comme le général Bauma et le colonel Mamadou, ont tenté de contrer ces infiltrations. En 2013, ces patriotes auraient repoussé le M23, non grâce à Kabila, mais malgré lui. Bauma, en particulier, aurait désobéi aux ordres de Kabila pour mener des offensives contre le M23, éteignant même son téléphone pour éviter les interférences. Cependant, après leur victoire, des figures comme Bauma et Mamadou auraient été éliminées dans des circonstances suspectes, attribuées à des empoisonnements orchestrés par le réseau de Kabila, Kagame et Museveni, pour éliminer les patriotes gênants.

Enfin, le narrateur dénonce les accords de Nairobi signés par Kabila après la défaite du M23 en 2013, les comparant à une négociation avec des criminels. Ces accords auraient permis aux rebelles de se replier en Ouganda et au Rwanda sans être poursuivis, renforçant l'idée d'une complicité de Kabila avec ces pays. Le narrateur, se présentant comme un résistant sous sanctions internationales, affirme n'avoir peur ni de Kabila, ni de Kagame, ni de Museveni, et promet de continuer à révéler la vérité. Il appelle les Congolais à reconnaître ces trahisons et à soutenir les efforts des Wazalendo pour défendre la souveraineté nationale. #Kabila #RDC #M23 #Wazalendo #Kagame