Ma fille a appelé par erreur… et j’ai entendu qu’elle avait « du dégoût » pour moi

Ma fille a appelé par erreur… et j’ai entendu qu’elle avait « du dégoût » pour moi
Jeanne, 60 ans, vit à Nîmes avec sa fille Claire et son petit-fils Théo. Depuis le divorce de Claire, elle fait tout : les repas, le ménage, les devoirs, les rendez-vous médicaux, les lessives, les courses… Elle se dit qu’elle a encore un rôle, qu’elle “sert à quelque chose”.

Jusqu’au jour où Claire l’appelle par erreur depuis Paris. Jeanne décroche, mais sa fille parle à une collègue… et ne se rend pas compte que sa mère écoute.

Ce que Jeanne entend va pulvériser 35 ans de sacrifices :

“Vivre avec ma mère collée à moi me dégoûte… j’aimerais disparaître avec Théo et ne jamais revenir.”

Choquée, Jeanne ouvre enfin les yeux : elle n’est pas “aidée”, elle est exploitée. Elle paie presque tout, s’occupe de tout, pendant que sa fille sort, se plaint de l’argent et se présente comme “débordée”.

Alors Jeanne prend une décision radicale :

elle fait estimer sa maison,

la vend en secret,

prépare deux valises,

confie une lettre et les clés à la voisine…
…et part vivre à Vichy, seule, libre, avec l’argent de toute une vie de travail.

Claire rentre un soir de déplacement et découvre la maison VIDE, une lettre glaciale mais lucide, et un fils de 12 ans qu’elle va devoir gérer seule du jour au lendemain.

Pendant que Claire s’écroule, apprend à cuisiner, à connaître les allergies de son propre enfant et commence une thérapie, Jeanne réapprend à vivre : petite maison, jardin, club de lecture, marche matinale, atelier peinture… et même un début de complicité avec Albert, un veuf élégant qui lui rappelle qu’elle est encore une femme, pas seulement une mère.

Cette histoire n’est pas une vengeance. C’est la décision d’une femme qui refuse de finir sa vie en fantôme chez elle.
#histoiresdevengeance #histoiredelabellefille #histoiresdubeaudfils #histoirederevanchesdegrandmère