Plus aucun véhicule électrique en Europe ?
Автор: Dans le Moteur
Загружено: 2025-12-15
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Plus aucun véhicule électrique en Europe ?
Pendant des années, l’Europe a vendu l’électrique comme une certitude absolue : fin du thermique, bascule massive, et 2035 comme ligne d’arrivée. Sauf qu’en 2025, la réalité ressemble beaucoup plus à un virage brutal qu’à une révolution fluide. Les ventes ralentissent, les subventions disparaissent, les constructeurs reculent, et même les “fans” des VE commencent à douter. Est-ce que l’Europe est en train d’abandonner l’électrique… ou est-ce qu’on assiste à une transition qui se fracture en silence ?
Dans cette enquête, on met les chiffres et la stratégie sur la table. L’Allemagne coupe les aides fin 2023 : choc immédiat sur la demande. Des modèles symboles (comme certaines berlines électriques haut de gamme) se retrouvent à lutter pour trouver des acheteurs, pendant que le marché se refroidit. Même les marques qui dominaient la conversation électrique voient des reculs violents sur certains marchés européens. Et quand les incitations se retirent, le prix “réel” apparaît : beaucoup de VE restent trop chers pour la classe moyenne, surtout quand une petite citadine électrique coûte parfois presque le double de sa version essence.
Mais le prix n’est qu’une partie du problème. On parle aussi d’infrastructure : autonomie perçue, recharge rurale, temps d’attente, fiabilité des bornes, et cette fatigue mentale que personne ne quantifie mais que tout le monde ressent. Résultat : les acheteurs se tournent vers une solution de transition qui “rassure” : l’hybride. Pas d’angoisse de recharge, une utilisation plus flexible, et souvent une meilleure valeur résiduelle à court terme.
Pendant ce temps, les constructeurs adaptent leur plan à la réalité. Certains annoncent clairement qu’ils gardent des moteurs essence et des hybrides “plus longtemps que prévu”, en assumant un mix plutôt qu’un tout-électrique risqué. Et ce pivot coûte cher : réingénierie, nouvelles plateformes, investissements supplémentaires… mais c’est le prix de la survie quand la demande devient imprévisible.
Ajoutez à ça la pression des VE chinois, souvent moins chers et très compétitifs, et vous obtenez une bataille industrielle qui dépasse le simple choix “électrique vs essence”. L’Europe veut protéger ses constructeurs avec des mesures commerciales, sans ralentir ses objectifs climatiques. Et au milieu, il y a vous : acheteur, conducteur, famille, travailleur… qui doit faire un choix dans un marché instable.
On aborde aussi le sujet qui fâche : la résistance politique et sociale. Quand les ménages sentent que la transition augmente le coût de la vie, le soutien s’érode. D’où les débats sur 2035, les carburants neutres, les exemptions, et les révisions anticipées. Et si le thermique devient temporairement “moins cher” en 2025–2026 via des remises massives, est-ce une opportunité… ou un piège fiscal (carburant, ZFE, taxes CO₂) ?
Conclusion : l’électrique ne “meurt” pas en Europe. Mais la promesse d’une bascule simple et rapide est en train de se transformer en transition longue, fragmentée, et politiquement explosive. Et si vous devez acheter bientôt, vous avez besoin d’une stratégie — pas d’un slogan.
Dites-moi en commentaire : dans votre pays, l’électrique recule, stagne, ou progresse vraiment ? Et vous, vous achetez quoi en 2025–2026 : VE, hybride, ou thermique tant qu’il est encore accessible ?
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