SCHUBERT / GOETHE, DER ERLKÖNIG (Eliso Virsaladze)
Автор: Super Tortoise
Загружено: 2013-05-28
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Elisso Wirssaladze , live in London
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"Erlkönig" is a poem by Johann Wolfgang von Goethe. It was originally composed as part of a 1782 Singspiel entitled Die Fischerin.
The poem has been used as the text for Lieder (art songs for voice and piano) by many classical composers, with Franz Schubert's rendition, his Opus 1 (D. 328), being the best-known one.
Erlkönig, ossia Il re degli Elfi, è una ballata scritta nel 1782 da Johann Wolfgang von Goethe, e fa parte dell'opera conosciuta come Die Fischerin.
Il testo della ballata è stato musicato da parecchi compositori, tra cui il Lied di Franz Schubert (di cui è probabilmente il capolavoro) è il più celebre; L'opera composta nel 1815 per voce e pianoforte viene spesso usata come strumento didattico da molti insegnanti di tedesco.
Le Roi des aulnes est un poème de Johann Wolfgang von Goethe écrit en 1782. La créature évoquée dans le poème est un Erlkönig, personnage représenté dans un certain nombre de poèmes et ballades allemandes comme une créature maléfique qui hante les forêts et entraîne les voyageurs vers leur mort.
Il a été mis en musique en 1815 par Franz Schubert
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Wer reitet so spät durch Nacht und Wind?
Es ist der Vater mit seinem Kind;
Er hat den Knaben wohl in dem Arm,
Er faßt ihn sicher, er hält ihn warm.
"Mein Sohn, was birgst du so bang dein Gesicht?" --
"Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht?
Den Erlenkönig mit Kron und Schweif?" --
"Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif."
"Du liebes Kind, komm, geh mit mir!
Gar schöne Spiele spiel' ich mit dir;
Manch' bunte Blumen sind an dem Strand,
Meine Mutter hat manch gülden Gewand." --
"Mein Vater, mein Vater, und hörest du nicht,
Was Erlenkönig mir leise verspricht?" --
"Sei ruhig, bleibe ruhig, mein Kind;
In dürren Blättern säuselt der Wind." --
"Willst, feiner Knabe, du mit mir gehn?
Meine Töchter sollen dich warten schön;
Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn,
Und wiegen und tanzen und singen dich ein." --
"Mein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort
Erlkönigs Töchter am düstern Ort?" --
"Mein Sohn, mein Sohn, ich seh es genau:
Es scheinen die alten Weiden so grau. --"
"Ich liebe dich, mich reizt deine schöne Gestalt;
Und bist du nicht willig, so brauch ich Gewalt." --
"Mein Vater, mein Vater, jetzt faßt er mich an!
Erlkönig hat mir ein Leids getan!" --
Dem Vater grauset's, er reitet geschwind,
Er hält in Armen das ächzende Kind,
Erreicht den Hof mit Müh' und Not;
In seinen Armen das Kind war tot."
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Traduction de Charles Nodier:
"Quel est ce chevalier qui file si tard dans la nuit et le vent ?
C'est le père avec son enfant ;
Il serre le petit garçon dans son bras,
Il le serre bien, il lui tient chaud.
« Mon fils, pourquoi caches-tu avec tant d'effroi ton visage ?
— Père, ne vois-tu pas le Roi des Aulnes ?
Le Roi des Aulnes avec sa traîne et sa couronne ?
— Mon fils, c'est un banc de brouillard.
— Cher enfant, viens, pars avec moi !
Je jouerai à de très beaux jeux avec toi,
Il y a de nombreuses fleurs de toutes les couleurs sur le rivage,
Et ma mère possède de nombreux habits d'or.
— Mon père, mon père, et n'entends-tu pas,
Ce que le Roi des Aulnes me promet à voix basse ?
— Sois calme, reste calme, mon enfant !
C'est le vent qui murmure dans les feuilles mortes.
— Veux-tu, gentil garçon, venir avec moi ?
Mes filles s'occuperont bien de toi
Mes filles mèneront la ronde toute la nuit,
Elles te berceront de leurs chants et de leurs danses.
— Mon père, mon père, et ne vois-tu pas là-bas
Les filles du Roi des Aulnes dans ce lieu sombre ?
— Mon fils, mon fils, je vois bien :
Ce sont les vieux saules qui paraissent si gris.
— Je t'aime, ton joli visage me charme,
Et si tu ne veux pas, j'utiliserai la force.
— Mon père, mon père, maintenant il m'empoigne !
Le Roi des Aulnes m'a fait mal ! »
Le père frissonne d'horreur, il galope à vive allure,
Il tient dans ses bras l'enfant gémissant,
Il arrive à grand-peine à son port ;
Dans ses bras l'enfant était mort."
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