L'armée burundaise déploie 12 000 soldats armés pour défendre Bukavu: une opération militaire m

L'armée burundaise a déployé 12 000 soldats pour défendre Bukavu dans le cadre d'une opération militaire majeure contre les rebelles soutenus par le Rwanda. Paul Kagame, le président rwandais, est accusé d'être le principal responsable de la guerre en République Démocratique du Congo (RDC) et des tensions croissantes avec le Burundi. En soutenant la rébellion du M23 et en poursuivant sa politique expansionniste, Kagame déstabilise la région des Grands Lacs, entraînant une nouvelle escalade de violence.

La RDC subit une guerre sans fin depuis plusieurs décennies, causant des pertes humaines et des destructions massives. Kagame, cherchant à étendre son influence dans la région, a intensifié ses efforts pour contrôler les ressources naturelles congolaises. Cependant, le Burundi, allié de la RDC, s'oppose fermement à cette expansion et a envoyé des troupes pour soutenir Kinshasa dans sa lutte contre le Rwanda.

Le Burundi a envoyé un contingent militaire d'environ 10 000 soldats en RDC après un accord militaire signé en septembre 2023. Ces forces ont été positionnées pour contrer l'avancée du M23, un groupe rebelle soutenu par le Rwanda. Le déploiement de la Task Force burundaise sur la frontière et l'envoi du 22e bataillon TAFOK à Bukavu augmentent considérablement la présence militaire burundaise dans la région, où la situation est devenue critique.

Kagame nourrit des ambitions belliqueuses contre le Burundi, et des sources affirment qu'il pourrait attaquer le pays après avoir sécurisé Bukavu. D'autres spéculations évoquent la possibilité d'une double offensive simultanée contre Bukavu et le Burundi. Cependant, le Burundi, bien que moins équipé, a réussi à repousser les attaques du M23 et à infliger des pertes importantes aux rebelles soutenus par le Rwanda.

Le Rwanda, sous couvert de protéger ses intérêts, utilise le M23 pour prendre pied dans l'est de la RDC. Kigali cherche à s'implanter durablement dans la région, en particulier dans le Nord-Kivu, avant de se diriger vers le Sud-Kivu. Malgré cela, l'armée burundaise a résisté avec succès à cette avance, neutralisant de nombreux rebelles et militaires rwandais. Sous la direction du général Pontien Hakizimana, le Burundi a établi des positions solides à des points stratégiques.

Si la communauté internationale continue de fermer les yeux sur les actions de Kagame, la menace d'un conflit régional majeur devient de plus en plus évidente. Les pays voisins du Rwanda n'ont pas d'autre choix que de réagir avec force face à l'agression rwandaise. Le Burundi, malgré sa position modérée jusqu'à présent, est contraint de se préparer à une guerre défensive pour protéger sa souveraineté contre un voisin expansionniste.

L'objectif de Kagame est clair : dominer la région et prendre le contrôle des ressources naturelles du Congo. En soutenant le M23, Kagame viole la souveraineté des pays voisins et alimente la guerre dans l'est de la RDC. Cette stratégie risque de conduire à une catastrophe régionale d'une ampleur jamais vue, alors que le Burundi et la RDC résistent fermement à l'expansionnisme rwandais.

En conclusion, la crise qui secoue l'Afrique des Grands Lacs trouve son origine dans les ambitions de Kagame, qui, par sa politique de déstabilisation, menace la paix et la stabilité régionales. Le Burundi et la RDC se dressent comme des remparts contre cette menace, et il est essentiel que la communauté internationale prenne des mesures pour mettre fin à l'agression rwandaise avant qu'il ne soit trop tard. #Kagame, #Burundi, #RDC, #M23, #GrandsLacs