🌞 Comprendre l’influence de l’antichrist dans le monde actuel et se positionner en Christ

💎 Quelques éléments de contexte avant l’émission du samedi 1er mars 2025 en direct à 20H

L’image qui illustre cette émission s’intitule « Des Cendres ». Il s’agit d’une œuvre d’Annie Kowalski que je remercie et félicite. Je l’ai choisie pour trois raisons :
• Le calendrier qui nous annonce le jour des Cendres pour mercredi prochain 5 mars.
• Les cendres qui caractérisent l’état du monde tel que je le perçois actuellement, après une « politique de la terre brûlée » menée par le diable et ses agents humains et dont nous commençons à voir les effets dans notre quotidien.
• La similitude entre « des cendres » et le verbe « descendre » qui, à la vaille de la période pascale qui conduit au passage, nous invite à descendre au plus profond de nous.

Ces jours-ci, je regarde le monde et je vois l’œuvre de Satan se révéler aux yeux de ceux qui acceptent d’abandonner les lunettes roses et l’espoir que les hommes puissants puissent rester intègres et bons pour les peuples qu’ils dominent. Le plan du séparateur prévoit que le matérialisme chasse toute présence divine sur la Terre, que le transhumanisme remplace l’évolution menée par la conscience de l’espèce humaine, que le mondialisme se substitue à la fraternité des divins souverains qui émerge pourtant en chacun.
De toute évidence, le plan d’Arhriman est bien ficelé, verrouillé, conceptualisé et repris par un ensemble de structures économiques, politiques et institutionnelles qui appliquent les principes d’une humanité réduite à sa dimension physique, dépourvue de toute présence de l’Esprit. Depuis le top départ du siècle des lumières, les cerveaux humains ont été lentement mais sûrement façonnés par l’éducation de tous les enfants à qui il est dit que seule la matière est vraie, que seule la pensée rationnelle est valide. Pour les adultes, les narratifs construits par les lobbyistes et autres cabinets d’ingénierie sociale se chargent de nous influencer sur tous les sujets collectifs ou individuels. Une morale, une bien-pensance, une norme s’imposent à tous, dans tous les pays, et toute personne en désaccord devient un réactionnaire, un complotiste intolérant au modernisme.
En 2025, la réalité de l’antichrist est visible dans la contestation permanente de notre possibilité de choisir nos idées, nos comportements, nos actions. La plupart des secteurs de nos vies même les plus privés, sont l’objet d’une dictée, d’une règle, d’une ligne droite à suivre.
Ahriman s’attaque au « JE », à la souveraineté individuelle, à la capacité de chaque personne de vivre responsable de ses choix. Après avoir combattu l’obscurantisme des religions, voici que Satan impose, par ses agents terrestres présents chez les politiques, dans les médias, dans les règlements et préconisations des institutions, chez les artistes, une manière de penser, de voir, de faire qui exclut la puissance de l’Esprit en soi. Dès les premiers mois de l’existence, en France, le message est inoculé dans le corps-même du bébé par 13 injections qui lui signifient que son corps est soumis à la loi des hommes et incapable de vivre sans le poison. Le contrat est scellé dans le sang, la docilité et la peur sont installées. Satan préfère commencer jeune et s’assurer que les humains auront ainsi moins de moyens pour retrouver un peu de lucidité, pour développer la force de se redresser.
Sur ce modèle, le travail d’emprise se poursuit allant aujourd’hui à gérer le périmètre des déplacements des automobilistes, la maintenance de nos logements et la façon de les chauffer, le nombre de jours préconisés d’usage de nos pantalons avant de les mettre à la machine à laver, j’en passe et des plus incongrus. Le contrôle social s’amplifie, se répand, se banalise. Notre docilité est primordiale car Satan a besoin de notre consentement, de notre adhésion, de notre énergie. Nous sommes sa nourriture.
Mais l’antichrist est grossier dans ses agissements, il finit par générer chez l’homme qui sait qu’il est Esprit densifié, une petite gêne, un léger désagrément d’abord presque inaudible, une toute petite envie de dire non à sa norme sociale insensée et privatrice de liberté. En nous la part, préparée de longue date, à se conformer à l’agenda 2030 se confronte au courant de VIE et de Vérité qui tente de jaillir. Même quand les suppôts de Satan donnent un euphorisant, un antidépresseur ou un somnifère au peuple, il arrive que l’un d’entre nous dise non. Non, je préfère l’infini aux restrictions, non je préfère l’éternité à l’assurance-vie, non je préfère le paradis à l’enfer même quand il est climatisé. Oui, je choisis la souveraineté, oui, j’opte pour la responsabilité de mon existence, oui, je me souviens de qui JE SUIS !

Merci de votre confiance
Marie-Odile

Lien vers la vidéo où il est question d'anthroposophie :    • Maurice Le Guerrannic: L'homme spirituel e...  
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