silence briser 3 final
Автор: zenzen
Загружено: 2025-11-06
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parole:
Regarde-moi, j’suis encore là,
Malgré les mots, malgré les pas.
J’ai pris des coups, j’ai pris le froid,
Mais j’ai appris à croire en moi.
Dans le miroir, j’vois mes failles,
Mais aussi la force qui m’réveille.
Chaque blessure devient lumière,
Quand j’me relève, plus fière, plus claire.
Dans les couloirs, les rires fusent, les cœurs s’usent,
Des mots tranchants, comme des lames qu’on accuse.
J’me taisais, j’baissais les yeux pour pas voir,
Aujourd’hui j’parle, j’change l’histoire.
Plus question d’me cacher dans l’ombre,
J’crée ma voix quand la peur succombe.
Les silences pèsent, mais ma voix résonne,
Et dans ma lutte, j’suis pas seule, personne.
Je crie sans son, je tombe sans bruit,
Dans cette foule qui m’oublie.
Si tu savais tout c’que j’endure,
Derrière mon rire, y’a mes blessures.
Mais l’invisible devient vivant,
Quand un regard devient présent.
Là où la peur voulait m’plier,
J’trouve la force de respirer.
Main dans la main, on avance ensemble,
Les mots blessants, on les désarme.
Si quelqu’un tombe, on le relève,
Plus jamais seul face à la trêve.
L’union fait naître des couleurs,
Quand on s’écoute, quand on s’effleure.
Contre le mal, nos voix s’unissent,
Et la douleur devient justice.
Regarde-moi, j’brille dans l’noir,
De mes blessures j’fais un espoir.
J’porte mes cicatrices comme un drapeau,
J’suis debout, même sous l’eau.
Rien n’efface ce que j’suis,
J’avance même quand tout fuit.
Regarde-moi, j’brise le silence,
J’fais de ma peine une danse.
Regarde-moi, j’brille dans l’noir,
De mes blessures j’fais un espoir.
J’porte mes cicatrices comme un drapeau,
J’suis debout, même sous l’eau.
Rien n’efface ce que j’suis,
J’avance même quand tout fuit.
Regarde-moi, j’brise le silence,
J’fais de ma peine une danse.
Sous la pluie, mes pas résonnent,
Chaque goutte murmure mon nom.
J’trace ma route, même si personne
Ne voit le feu dans ma raison.
J’ai connu l’vide, les murs sans fin,
Les voix qui jugent sans lendemain.
Mais dans le froid, j’ai fait ma place,
Là où la peur, enfin, s’efface.
J’ai vu des cœurs se refermer,
Des rêves s’user, des mains trembler.
J’ai vu la rage dans les regards,
Et des silences trop bavards.
Mais moi j’veux croire en l’impossible,
À ces liens qu’on rend visibles.
Aux âmes perdues qui se relèvent,
À celles qui tombent, mais se soulèvent.
J’fais d’mes douleurs des feux d’artifice,
D’mes cicatrices des promesses complices.
J’me reconstruis sur les débris,
Chaque éclat m’fait voir la vie.
Le monde peut bien tourner sans moi,
J’crée ma lumière avec mes doigts.
Et si demain tout s’écroulait,
J’me relèverais, encore, jamais en paix.
Regarde-moi, j’brille dans l’noir,
De mes blessures j’fais un espoir.
J’porte mes cicatrices comme un drapeau,
J’suis debout, même sous l’eau.
Rien n’efface ce que j’suis,
J’avance même quand tout fuit.
Regarde-moi, j’brise le silence,
J’fais de ma peine une danse.
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