Musique (IA) Louke : Le Dernier Coup de Feu (JDR Shaan Renaissance)

Bonjour,
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[Intro]
Sous le ciel rouge d’Héossie, un pas résonne,
L’ombre d’un homme, la mort qui sonne.
Louke parade, regard d’acier,
Son rire froid, un dernier sablier.

"Un seul tir pour le silence, un seul cri pour la vengeance.”

[Verse 1]
Il tire plus vite que la peur,
Son âme vendue pour la rancœur.
Son barillet chante quand il respire,
Chaque balle un vœu, chaque mort un empire.

Son manteau noir traîne la poussière,
Sous son chapeau, brûle la guerre.
Il sert Karl Rack, sans un mot,
Le doigt sur la gâchette, le monde en écho.

[Pre-Chorus]
Quand la lune frappe son canon,
Les morts suivent sa chanson.
Les Nécrosiens dansent derrière,
Sous sa loi, plus rien n’est clair.

[Chorus]
Louke !
Le soleil s’éteint dans ton ombre !
Louke !
Ton revolver tonne et succombe !
Chaque pas, une tombe, une trace,
Chaque tir, un pacte, une menace.
Oh, cavalier du néant, sans retour,
Ton cœur bat noir au son du tambour.

[Verse 2]
Autrefois itinérant, porteur de foi,
Aujourd’hui héros sans foi ni loi.
Un Boréal, perdu dans l’orage,
Son reflet hurle sous le mirage.

Les Itinérants l’ont croisé cent fois,
Mais jamais n’ont vu sa vraie croix.
Il rit du monde qu’il va briser,
Un ange mort, prêt à juger.

[Bridge]
Le vent siffle entre deux destins,
Brume chancelle sous sa main.
Mais dans l’écho de son dernier tir,
Le vrai Louke semble revenir.

[Chorus – Final]
Louke !
Ton nom résonne dans la poussière !
Louke !
Le sang s’éclaire dans la lumière !
Tu tires pour l’ombre, mais cries pour l’honneur,
Ton âme balance entre mort et labeur.
Oh, cavalier du soir sans lendemain,
Redeviens le boréal, rends le chemin.

[Outro]
Le canon fume, le vent s’éteint,
Louke baisse la tête, un feu dans les mains.
Le désert s’ouvre, le monde s’apaise,
L’ombre recule… la vérité se dresse.

[Pre-Chorus]
Quand la lune frappe son canon,
Les morts suivent sa chanson.
Les Nécrosiens dansent derrière,
Sous sa loi, plus rien n’est clair.

[Chorus]
Louke !
Le soleil s’éteint dans ton ombre !
Louke !
Ton revolver tonne et succombe !
Chaque pas, une tombe, une trace,
Chaque tir, un pacte, une menace.
Oh, cavalier du néant, sans retour,
Ton cœur bat noir au son du tambour.