👉 Ils l'ont massacré et laissé pour mort à plusieurs !
Автор: LaVoixDuPeuple-Tv
Загружено: 2025-11-26
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État de l’enquête et identité des agresseurs
À la date d’aujourd’hui (27 novembre 2025) les médias indiquent que les trois agresseurs sont toujours en fuite et activement recherchés par la police. Ils sont décrits comme trois jeunes adultes d’environ 20 à 25 ans, mais aucune identité nominative n’a été rendue publique à ce stade. Les reportages précisent que cinq jours après l’agression, les auteurs présumés n’avaient toujours pas été interpellés.
Concrètement, on ne connaît pas leurs noms publiquement et il n’existe aucune information officielle concernant une arrestation. L’enquête est en cours et reste couverte par le secret de l’enquête et la présomption d’innocence. Même si les agresseurs ont été filmés, tant qu’il n’y a pas d’interpellation ou de communication du parquet, aucune identité ne peut être dévoilée.
Quelles peines risquent-ils en théorie ?
Tout dépend de la qualification retenue par le parquet.
a) Qualification minimale : violences volontaires aggravées
Vu les faits décrits (agression à plusieurs, coups de pied dans la tête, visage défiguré, incapacité totale de travail probable supérieure à 8 jours), on est au minimum sur des violences volontaires en réunion ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours.
C’est un délit puni de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende, pouvant monter à 5 ou 10 ans avec des circonstances aggravantes comme la réunion ou l’usage d’une arme par destination.
Si les blessures sont considérées comme une mutilation ou une infirmité permanente (par exemple des séquelles définitives au visage), la peine peut monter jusqu’à 10 ans de prison, voire 15 ans si l’on passe en qualification criminelle selon les articles 222 du Code pénal.
b) Qualification plus lourde : tentative d’homicide volontaire
Au vu des faits décrits médiatiquement (coups de pied répétés dans la tête, victime laissée pour morte au sol), il est possible que le parquet retienne une tentative de meurtre en réunion.
En droit français, la tentative d’homicide est punie comme l’homicide lui-même. Le meurtre est puni de 30 ans de réclusion criminelle, et la tentative peut aller jusqu’à la même peine si l’intention de tuer est retenue.
En pratique, la peine dépendra du casier judiciaire des suspects, de leur âge exact, de la qualification finale retenue (violences aggravées ou tentative de meurtre), ainsi que de la décision du tribunal ou de la cour d’assises.
Sur l’idée de structures militaires sévères
L’objectif est clair : dissuader, marquer les esprits, envoyer un message très fort aux jeunes susceptibles de commettre les mêmes actes.
Cependant, tout ce qui ressemble à un isolement total de la famille, à des conditions comparables ou supérieures à celles de la Légion étrangère, ou à des souffrances physiques organisées tombe sous des limites légales strictes concernant les traitements inhumains ou dégradants.
Il existe toutefois des alternatives compatibles avec l’État de droit : peines fermes, centres éducatifs fermés avec encadrement quasi militaire, discipline stricte, lever tôt, sport quotidien, travail obligatoire, formations professionnelles, travaux d’intérêt général lourds au contact des conséquences concrètes de la violence (hôpitaux, centres de rééducation, etc.).
Cela permet d’exiger des sanctions fermes et exemplaires tout en restant dans un cadre légal.
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