Avec la complicité de la Belgique : L'Infiltration rwandaise en RDC dévoilée 🔥
Автор: zKonk
Загружено: 2024-04-19
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Depuis plusieurs décennies, la République démocratique du #Congo (RDC) vit au rythme des conflits récurrents dans sa partie orientale. Une des causes profondes, souvent sous-estimée ou politiquement édulcorée, est l’#infiltration progressive du Rwanda au sein du tissu social et politique congolais. Ce phénomène soulève une question controversée : existe-t-il réellement des Tutsi congolais, ou s’agit-il de #Tutsi rwandais installés illégalement sur le territoire congolais ? À la lumière des faits historiques, des témoignages et des données documentées, cette infiltration semble relever d’un projet stratégique régional bien orchestré par Kigali.
UNE IMMIGRATION MASQUÉE DERRIÈRE LES CONFLITS
L’histoire contemporaine de la RDC est marquée par l’arrivée massive de populations rwandophones à la suite du génocide de 1994 au Rwanda. Des centaines de milliers de réfugiés, parmi lesquels des membres des Forces armées rwandaises (FAR) et des miliciens Interahamwe, ont traversé la frontière pour s’installer principalement dans les provinces du Kivu. Officiellement, ces réfugiés étaient civils, mais dans les faits, une grande partie d’entre eux étaient armés et ont constitué un terreau de déstabilisation durable dans l’est du Congo.
Preuve historique : Le rapport Mapping des Nations unies (2010) documente en détail les atrocités commises par les armées rwandaises (APR, puis RDF) sur le sol congolais, notamment lors des massacres de réfugiés hutus rwandais dans les forêts du Congo. Ce même rapport pointe la collusion entre les rebelles rwandophones et les intérêts géostratégiques de Kigali.
LES GROUPES ARMÉS COMME INSTRUMENT D’INFILTRATION
Des groupes rebelles tels que le RCD-Goma (Rassemblement congolais pour la démocratie), le CNDP (Congrès national pour la défense du peuple) et plus récemment le M23, ont été majoritairement composés de Tutsi rwandophones. Leurs revendications identitaires servaient souvent de façade à une mainmise sur les ressources minières et les zones stratégiques.
Exemple concret : En 2012, le rapport du Groupe d’experts de l’ONU accuse directement le Rwanda de soutenir militairement, logistiquement et financièrement le M23. Plusieurs officiers du M23 étaient d’anciens membres de l’armée rwandaise, recyclés dans l’armée congolaise (FARDC) via les processus de brassage et mixage, puis ayant fait défection.
LE FLÉAU DU « TUTSISME CONGOLAIS » : UNE IDENTITÉ CONSTRUITE ?
Il est important de distinguer les Banyamulenge, groupe pastoral tutsi installé au Sud-Kivu depuis le XIXe siècle, des Tutsi récemment arrivés au Congo. Si les Banyamulenge revendiquent une ancienneté territoriale, leur légitimité nationale reste contestée par plusieurs communautés locales qui les perçoivent comme des instruments d’expansionnisme rwandais.
Fait troublant : De nombreux soi-disant "Tutsi congolais" n’ont ni langues ni cultures congolaises, mais parlent exclusivement le kinyarwanda et maintiennent des liens étroits avec Kigali. Plusieurs rapports d’ONG locales documentent des cas d’octroi frauduleux de nationalité congolaise à des individus d’origine rwandaise.
UNE INFILTRATION POLITIQUE ET MILITAIRE
L’implication de ressortissants rwandais dans les structures politiques et militaires de la RDC est un fait désormais difficile à dissimuler. De nombreux officiers supérieurs dans l’armée congolaise sont soupçonnés d’avoir des origines rwandaises ou des allégeances douteuses envers Kigali.
Exemple : Le général Bosco Ntaganda, alias "Terminator", aujourd’hui condamné par la CPI pour crimes de guerre, était à la fois un chef de guerre et un officier rwandais infiltré dans les FARDC. Il est emblématique de cette stratégie d’infiltration à double visage.
LES CONSÉQUENCES D’UNE PRÉSENCE NON RÉGULÉE
L'infiltration rwandaise a engendré des tensions communautaires graves, une fragilisation de l’autorité de l’État congolais et une perte de souveraineté sur certaines régions du pays. Les populations locales, notamment au Nord et Sud-Kivu, se sentent marginalisées dans leur propre pays.
Témoignage : Un chef coutumier de Rutshuru confiait récemment à la presse locale : « On ne comprend plus qui est Congolais et qui ne l’est pas. Les armes, l’argent et le pouvoir sont dans les mains de ceux qui ne parlent pas nos langues, ne vivent pas nos cultures. »
CONCLUSION : UNE URGENCE NATIONALE D’IDENTIFICATION ET DE SÉCURISATION
Face à ce phénomène, l’État congolais est appelé à entreprendre un audit démographique sérieux, renforcer le contrôle des frontières et revoir sa politique de nationalité. Car sans maîtrise de son identité nationale, la RDC reste vulnérable à une déstabilisation chronique par des forces extérieures dissimulées sous des revendications identitaires floues.
L’enjeu n’est pas l’ethnicité, mais la souveraineté. Il est urgent que la RDC reprenne le contrôle de son narratif, de son territoire et de son avenir.
/ 198vetzxrw
#Kivu #M23 #Rwanda #IdentitéCongolaise #Géopolitique

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