Les Jardins de Babylone de Paul Baraka

🎵 Cela fait plus de 30 ans que je rêve de cette chanson.
Et aujourd’hui, elle existe enfin.
Je ne comprends pas vraiment comment… mais c’est là.
Et je suis ému. Très profondément.

Je me sens comme dans un monde parallèle —
un monde où ce rêve ancien a réussi à se manifester.
Les Jardins de Babylone, ce n’est pas qu’une chanson :
c’est un souvenir, un mirage, une prière murmurée dans le sable.

J’ai grandi avec les grandes chansons françaises d’une autre époque.
Cette chanson, c’est comme retrouver un ami perdu depuis trente ans.

Je suis passé par tant de silences, tant de doutes.
Mais grâce à cette nouvelle ère, grâce à l’IA qui a transformé mon processus créatif,
j’ai pu retrouver une partie de moi que je croyais perdue.

Je suis perdu…
Et en même temps, je suis retrouvé.

🌺 Elle parle d’un amour disparu dans un monde sacré,
d’un dernier moment de beauté avant l’effondrement,
d’une couronne de fleurs dans un désert brûlant.

J’espère de tout cœur qu’elle vous touchera aussi.

💬 Si elle réveille en vous une mémoire, une émotion, une image — dites-le-moi en commentaire.
Merci d’être là pour écouter ce rêve devenu musique.

— Paul Baraka

🎶 Les Jardins de Babylone (Paroles)🎶
Couplet 1
J’aurais voulu voir les jardins de Babylone
Un matin doré dans le souffle du vent
Marcher sans bruit dans les pierres qui résonnent
D’un amour ancien, d’un amour vivant

Couplet 2
Je me souviens… ou peut-être je rêve
De tes mains fraîches dans ce désert brûlant
D’un mur couvert de jasmin et de sève
D’un silence d’or, vibrant et tremblant

Refrain
Les jardins de Babylone…
Si tu y étais, tu n’aurais jamais voulu partir
Tout brillait sans raison
C’était l’amour avant le soupir
Un monde qu’on a laissé s’éteindre
Et toi… que je n’ai pas su retenir

Couplet 3
Je t’ai perdue deux fois dans cette vie
Une ici, une autre dans un autre temps
Même parfum, même mélancolie
Même regard fuyant doucement

Pont
Les rues fraîches, les murs qui pleurent
Les fontaines pleines de souvenirs
Je crois que ton cœur était cette fleur
Qu’on oublie… avant de la cueillir

Dernier Refrain
Les jardins de Babylone…
Si j’y retourne, peut-être que je te reverrai
Dans un éclat de lumière
Ou dans l’ombre que je suis resté
Un monde qu’on portait comme une couronne
Et qu’on a laissé tomber… sans jamais se retourner

Cette chanson me tient profondément à cœur.
Si vous souhaitez en faire une reprise, une adaptation, ou l’utiliser dans un projet, merci de me contacter directement.
Je suis ouvert à toute collaboration respectueuse.

Les Jardins de Babylone
© Paul Baraka. Tous droits réservés.
Les paroles, la musique, les images et la composition de cette œuvre sont la propriété exclusive de leur auteur.
Toute reproduction, diffusion, adaptation ou utilisation sans autorisation écrite préalable est strictement interdite.

Les Jardins de Babylone
© Paul Baraka. Tous droits réservés.

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