La terre et l’éternité

(Couplet 1)
La terre et l’éternité se mêlent en un chant,
Dans les plaines silencieuses où murmurent les vents,
Les montagnes immobiles, gardiennes du temps,
Portent dans leurs roches les secrets des géants.
La terre, notre mère, dans ses bras de poussière,
Berce nos vies fragiles, nos ombres passagères,
Ses vallées profondes, ses rivières de lumière,
Font vibrer nos cœurs d’une douceur éphémère.

(Refrain)
La terre et l’éternité, un souffle réuni,
Un pas dans le présent, un autre vers l’infini,
Dans la grâce du moment, nos âmes se confient,
À la beauté du monde, à la lumière qui luit.

(Couplet 2)
L’éternité s’étend comme un vaste océan,
Au-delà des étoiles, des horizons lointains,
Elle garde nos rêves, nos espoirs d’enfant,
Promesse d’un ailleurs, d’un chemin serein.
Les saisons s’effeuillent, la vie tourne et s’évade,
Les roses se déposent en silencieuse balade,
Mais au cœur du silence, quand tout semble s’éteindre,
L’éternité demeure, sans trembler ni se plaindre.

(Refrain)
La terre et l’éternité, un souffle réuni,
Un pas dans le présent, un autre vers l’infini,
Dans la grâce du moment, nos âmes se confient,
À la beauté du monde, à la lumière qui luit.

(Pont)
Et quand nos pas s’effacent sur le sable du soir,
Quand le ciel nous raconte ses promesses d’espoir,
Nous levons les yeux, humbles et apaisés,
Entre l’ombre et la lumière, prêts à cheminer.

(Refrain)
La terre et l’éternité, douce mélodie,
Tissent nos destins d’amour et de poésie,
Nous invitant à vivre, à rêver sans bruit,
Dans la grâce éphémère… et l’infini.