Michel Berger. Solitaire mais pas seul. 1991 Une année pas comme les autres.

31ème montage de la série chronologique en hommage à Michel Berger (playlist sur cette chaîne « Comme 2 moitiés d'une lettre déchirée qu'on aimerait recoller »). Mais aussi pour marquer la date de naissance de Michel Berger, le 28 Novembre 1947.
Vidéo sur la 1ère partie de 1991 qui débute pour Michel Berger avec le succès du single
« Paradis blanc » et le clip emblématique réalisé par Bernard Schmitt qui passe régulièrement à la télé, et toujours à l’affiche à Paris « La légende de Jimmy ». Les prolongations ont du être fortement envisagées, car on peut lire sur le 2ème single « Géant », paru en janvier, que le spectacle reprendra au Théâtre de Paris à partir de 4 mars 91. Mais ce ne sera pas le cas, l’Opéra Rock présentera sa dernière représentation au Théâtre Mogador en février 91.
De même, une annonce avait été faite l’année précédente, d’une représentation de Tycoon, en janvier à Londres qui n’a pas eu lieu. Michel Berger poursuit ce projet compliqué en multipliant les voyages entre Paris, Londres, les Etats Unis et Montréal. Le livret de Luc Plamondon a été traduit par Tim Rice, mais le casting n’est pas encore bouclé.
Depuis 1990, Michel Berger a aussi le projet d’aménager un studio d’enregistrement dans une ancienne imprimerie à Paris. Le studio face B permettra de voir naître les premiers enregistrements de Starmania en anglais, en cette première partie de 1991.
En mars 1991, le pygmalion des débuts de France Gall, Serge Gainsbourg tire sa révérence. A l'époque, France Gall qui n’est plus dans l’actualité depuis 1990, ne s’exprimera pas sur la disparition de Serge Gainsbourg. Par contre les rétrospectives sur cette période ne manquent pas et remettent en lumière la petite fille de la pop française des années 60.
Toujours en mars 1991, Johnny Hallyday sort « Diego, libre dans sa tête » en single. Il proposera dans un coffret, un clip et fera un enregistrement en studio. Vous aurez compris la référence dans le titre du montage à la chanson écrite et composée par Berger pour Johnny, "Seul mais pas solitaire", inversé pour Michel Berger
Michel Berger a renoué des liens avec son père Jean Hamburger (professeur en médecine), depuis qu'ils savent que leur fille est atteinte de la mucoviscidose, Michel Berger et France Gall se battent contre cette maladie incurable, sans remède encore. Le constat du Professeur Hamburger est que seule, une avancée majeure dans les recherches médicales pourra donner de l'espoir. Le couple Berger Gall se donne les moyens pour ne pas manquer cette chance.
Les images utilisées proviennent d’extraits de la Légende de Jimmy, de clips, d’émissions de télévision « Ouvert le dimanche matin » « Starmania, l'opéra rock qui défie le temps », « Destins brisés » (son uniquement pour interviews), « Toi, sinon personne », « Michel Berger par France Gall », mais aussi de photos, articles de presse et discographies des artistes mentionnés.
Les commentaires sont nourris par mes connaissances, parfois mes impressions, mais aussi par les articles de presse, les interviews, du Mémoire de Master 2 sur Michel Berger de Gabriel Ménévis et différents blogs.
Sarah Denis en voix off de mes commentaires, mais aussi un grand merci pour le réglage du son.
Extraits sonores d’interviews des émissions en hommage à Michel Berger et d’articles de presse
Titres utilisés pour la vidéo (paroles et musique : Michel Berger, sauf quand mentionné)
« Only the very best », par Elaine Paige (texte de Luc Plamondon adapté en anglais par Tim Rice) sur des extraits du clip du même titre par Peter Kingbery
« Le Paradis Blanc » : Extraits, au piano par Jonathan Varée, par Michel Berger et par Emma Beatson
Extraits des titres de « la légende de Jimmy » (Livret de Luc Plamondon)
o Mon démon : version instrumentale
o La légende de Jimmy par Diane Tell & France Gall
o Mister Actor Studio par Renaud Hantson
o Le cinéma par Nanette Workman
o Mourir comme lui : version instrumentale
« Chanson pour Man Ray » par Diane Tell +extraits version studio 90
« Quelques mots d’amour » par Tom Novembre
« Première rencontre » : version arrangée par Michel Bernholc (1984) avec Françoise Hardy
« Attends ou va-t’en » (paroles et musique : Serge Gainsbourg) reprise instrumentale par Astrud
« Je suis te dire que je m’en vais » (paroles et musique : Serge Gainsbourg) par France Gall
« Diego libre dans sa tête » par Johnny Hallyday

Merci à tous ceux qui partagent sur le net, plus particulièrement ceux qui pratiquent la musique de Michel Berger.
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