Elle tombe amoureuse de son père adoptif, tombe dans le jeu d’un héritier riche et trouve l’amour.

Elle avait dix-sept ans quand son cœur a commencé à battre différemment, pas pour un garçon de son âge, pas pour un camarade de classe, mais pour l'homme qui l'avait sauvée des ténèbres, celui qui lui avait offert un toit, une famille, une nouvelle vie. Son père adoptif. Et ce secret qu'elle portait était sur le point de détruire tout ce qu'elle avait construit. Mais attendez, car cette histoire va vous emmener là où vous ne l'imaginez pas. Ce que vous allez entendre aujourd'hui va vous bouleverser, vous surprendre, et peut-être même vous faire pleurer. Restez jusqu'à la fin, car ce que vous pensez savoir maintenant n'est rien comparé à ce qui va suivre. Avant de commencer, si vous aimez les histoires qui touchent l'âme, abonnez-vous à cette chaîne, activez la cloche pour ne rien manquer, et dites-moi dans les commentaires de quelle ville vous écoutez cette histoire incroyable. Mettez un like si vous êtes prêt à vivre des émotions intenses. Maintenant, entrons dans l'univers de Léa.
Léa Martin n'avait que huit ans quand sa vie a basculé dans l'obscurité. Ses parents biologiques sont morts dans un accident de voiture un soir de décembre, la laissant seule au monde, sans famille, sans repères, sans personne pour la serrer dans ses bras quand elle pleurait la nuit. Elle a passé deux ans dans un orphelinat froid, où les journées se ressemblaient toutes, où les enfants apprenaient à ne plus espérer, à ne plus rêver d'une famille qui viendrait les chercher. Puis, à dix ans, tout a changé. Alexandre Dubois, un homme de trente-cinq ans, directeur d'une entreprise de technologie prospère, était venu à l'orphelinat pour faire un don. Il avait vu Léa assise seule dans un coin, un livre entre les mains, ses grands yeux verts perdus dans une histoire qui lui permettait d'échapper à sa réalité. Quelque chose dans le regard de cette petite fille l'avait touché profondément. Peut-être y avait-il vu sa propre solitude, lui qui n'avait jamais fondé de famille, trop occupé par sa carrière. Trois mois plus tard, après d'innombrables démarches administratives, Léa emménageait dans la grande maison d'Alexandre, une demeure magnifique au cœur de la ville, avec un jardin immense et une chambre qui lui était entièrement dédiée. Pour la première fois depuis des années, Léa a souri. Alexandre était doux, patient, attentionné. Il l'emmenait à l'école tous les matins, l'aidait avec ses devoirs, cuisinait ses plats préférés, et surtout, il l'écoutait. Il écoutait ses rêves, ses peurs, ses histoires imaginaires. Il était devenu son héros, son sauveur, son père.
Les années ont passé comme un doux rêve. Léa grandissait, s'épanouissait, excellait à l'école. Alexandre était fier d'elle, de la jeune femme qu'elle devenait. Mais quelque chose d'inattendu s'est produit quand Léa a eu seize ans. Elle a commencé à le regarder différemment. Ce n'était plus seulement de la reconnaissance ou de l'affection filiale. C'était quelque chose de plus profond, de plus troublant. Elle remarquait la façon dont il souriait quand il lisait le journal le matin, la manière dont ses yeux se plissaient quand il riait, la force de ses mains quand il ouvrait un bocal qu'elle ne pouvait pas ouvrir. Elle se surprenait à penser à lui constamment, à attendre avec impatience le moment où il rentrerait du travail, à ressentir une jalousie étrange quand il parlait avec d'autres femmes lors des dîners qu'il organisait. À dix-sept ans, Léa a compris l'horrible vérité. Elle était tombée amoureuse d'Alexandre. Et cette révélation l'a terrifiée. Comment pouvait-elle ressentir cela pour l'homme qui l'avait adoptée, qui l'avait élevée comme sa propre fille? C'était interdit, immoral, impossible. Elle a essayé de refouler ces sentiments, de les ignorer, de les faire disparaître. Elle sortait avec des garçons de son lycée, essayait de se convaincre qu'elle pouvait aimer quelqu'un d'autre. Mais rien n'y faisait. Son cœur ne battait que pour Alexandre.