Tshisekedi et la RDC n’ont pas besoin d’un Dialogue, mais d’Actions fortes !
Автор: Africa Flashes
Загружено: 2025-11-30
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Dans un Congo fragilisé par l’insécurité, les infiltrations étrangères, la corruption interne et une gouvernance souvent déconnectée des réalités géopolitiques, une vérité s’impose désormais avec une force implacable : ce pays n’a plus besoin de Dialogues interminables, de Tables rondes improductives ou de négociations qui ne font que renforcer les criminels. Le Congo a besoin d’Actions. De décisions fortes. De réformes radicales. Et surtout, d’un véritable sursaut national.
Bienvenue chers auditeurs d’Africa Flashes, et merci d’être à ce rendez-vous où nous posons les mots que beaucoup n’osent pas prononcer. Ce que traverse aujourd’hui la RDC n’est pas une simple crise politique : c’est une crise ontologique, une crise qui touche à l’identité même de l’État, à la vision de la puissance, au sens du patriotisme et à la capacité du peuple à exiger des dirigeants la transformation profonde qu’ils refusent encore d’assumer.
Depuis trop longtemps, le Congo répète les mêmes erreurs : budgets absorbés par des institutions hypertrophiées, dépenses publiques disproportionnées, classe politique focalisée sur ses privilèges, Parlement absent de son rôle stratégique, élites incapables d’analyse froide, armée infiltrée et affaiblie. Pendant que l’État s’enlise, les ennemis du Congo avancent — politiquement, militairement, diplomatiquement.
C’est ici que le mythe du « dialogue permanent » devient un piège mortel. Dialoguer avec des groupes armés qui massacrent des civils, dialoguer avec des acteurs soutenus par des puissances étrangères, dialoguer sans rapport de force, c’est consacrer la légitimité de ceux qui détruisent la nation. La paix ne se construit pas en récompensant les criminels : elle se construit en réformant l’État, en renforçant la cohésion nationale et en imposant le respect par la dissuasion.
Pourtant, la dissuasion n’est pas qu’une question d’armes. Elle commence par la discipline, le renseignement, l’éthique militaire, la loyauté, la maîtrise stratégique. Et c’est précisément là que se trouve la plus grande vulnérabilité de la RDC : un appareil sécuritaire miné par la corruption, les rivalités internes, les influences extérieures, l’absence de doctrine et le manque dramatique d’anticipation. Une armée réagit — elle n’anticipe pas. Une armée subit — elle n’impose pas.
Tant que ces failles ne seront pas corrigées, aucun investisseur, aucune puissance étrangère, aucun partenariat ne pourra stabiliser la RDC. Car un État n’est souverain que s’il peut se défendre. Et une diplomatie n’est crédible que si elle s’appuie sur une force réelle, respectée et disciplinée.
Le Parlement, lui aussi, doit retrouver son rôle. Non pas comme tribune médiatique, non pas comme marché politique, mais comme institution de contrôle, de courage et de responsabilité nationale. Le pays ne peut plus se permettre des dépenses superflues alors que l’armée, le renseignement, les infrastructures stratégiques et la formation manquent cruellement de moyens. Le Congo doit changer ses priorités, et ce changement doit venir maintenant.
Car au fond, tout se résume à cela : la RDC n’est pas condamnée. Elle est simplement à la croisée des chemins. Soit elle poursuit la voie des contradictions internes, du clientélisme, de la fragmentation et de la dépendance ; soit elle choisit la voie de la puissance, de la réforme profonde, de la cohésion nationale et d’une souveraineté enfin assumée.
Le temps des illusions est terminé. Le Congo doit se décider : être un État respecté, ou rester un territoire vulnérable. #RDC #Congo #Souveraineté #AfricaFlashes #Gouvernance
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